tests de recrutement
En vogue il y a 20 ans, les tests à l’embauche ont beaucoup diminué. Ils interviennent dans un processus de recrutement sur trois, et plutôt pour des fonctions commerciales et souvent au sein d’entreprises de services informatiques (rarement pour des banques ou des cabinets de conseil). Ils se déroulent toujours sur ordinateur, soit avant l’entretien (permettant d’effectuer un premier tri), soit après (pour confirmer la décision prise par le recruteur).
Plus tard au cours du cursus, l’ « assessment center » prendra le relais des tests.
Les tests les plus fréquents
– Les tests de logique verbale ou numérique, ou encore les tests psychotechniques, improprement appelés tests d’intelligence. Il s’agit alors d’interpréter une phrase aux ramifications complexes, ou de travailler sur une suite logique de chiffres, de lettres…
Conseils :
Ces tests, très longs, ne sont pas supposés être faits jusqu’au bout… Si vraiment, on les redoute, on peut s’entraîner, mais il n’y à rien d’apprendre !
– Les tests de personnalité
Le recruteur utilise souvent l’un des trois grands classiques : le GZ (face à une situation, le candidat a le choix entre trois options), le PAPI (qui reconstitue le tempérament à l’aide d’une rosace) ou encore le SOSIE.
Conseils :
Inutile de préparer ces tests. Environ 80 questions à traiter en ¾ d’heure. Chaque question est assortie de trois réponses, du style « blanc », « noir », « je ne sais pas ». Il faut « se mouiller » et ne donner la 3ème réponse qu’au plus dans 10/100 des cas. Et surtout ne pas chercher pas à tromper (une image fausse joue contre le candidat) !
Conseils généraux
Avant les tests : si le candidat appréhende cette étape, qu’il achète un ouvrage (peu importe lequel ! ) sur ce thème. Il constatera qu’il n’a rien à redouter. Et plus encore que d’autres, les jeunes issus des écoles de commerce ou d’ingénieurs, compte tenu de leurs études, passeront l’obstacle sans aucun problème
Pendant les tests : se calmer, respirer à fond, tout ira bien…